L'extrême droite s'organise pour les européennes
Bruxelles et ses institutions sont les cibles préférées de l'extrême droite eurosceptique. Pour l'instant, au Parlement européen, les partis nationalistes ne pèsent pas grand chose. Seuls trois députés y siègent pour le FN par exemple. Mais ils espèrent bien changer la donne en 2014 lors des élections européennes. Et dans cette optique, des partis d'extrême droite - parmi lesquels le Front national français qui a le vent en poupe - sont en train de forger une alliance. Antoine Mouteau a enquêté pour nous.
L'Europe roule pour les jeunes
Un film en avait fait la vedette : intitulé "L'auberge espagnole", il racontait de manière humoristique les tribulations et les rencontres d'un jeune étudiant français titulaire d'une bourse Erasmus d'un an en Espagne. C'est un fait, ce programme connaît un véritable engouement, puisque plus de 2 millions de jeunes Européens en ont profité en 25 ans, malgré une offre de bourse notoirement insuffisante.
D'autres programmes s'y ajoutent. Au total c'est une véritable palette que l'Europe met à disposition des jeunes. Les eurodéputés viennent de rebaptiser cet ensemble "Erasmus +". S'agit-il simplement d'un changement d'étiquette ? L'eurodéputée allemande Doris Pack, présidente de la commission de la culture et de l'éducation au Parlement, donne son point de vue.
Retour de la crise
La Banque centrale européenne (BCE) et le gouvernement allemand pressent la Grèce d'accélérer les réformes pour recevoir une tranche d'aide supplémentaire d'ici le 8 juillet prochain. Concrètement, il s'agit de diminuer la dépense publique par la mise en réserve ou le départ de quelque 12.500 fonctionnaires. De quoi donner des cheveux blancs au ministre des Finances et au chef de gouvernemennt Antonis Samaras, car les postes publics étaient souvent attribués en Grèce sur des critères clientélistes et d'appartenance politique.