Le kholkhal, un bracelet qui émoustille les Tunisiens
8 janvier 2014Publicité
La paire de bracelets pesait un kilo un tout. Ces bijoux s'inscrivent dans un rite de séduction. Le bruit du kholkhal, rythmé par la démarche de la femme, en disait long sur celle qui le portait, même sans la voir. Cette tradition est presque éteinte, mais quelques réminiscences demeurent dans la médina de Tunis.
Dans le souk des orfèvres, Mohamed Haddad est parti à la recherche de l’histoire de ce bijou, et des raisons de sa disparition progressive. Ecoutez son reportage ci-dessous: